ça va mieux en le disant ...
Lorsque la semaine dernière j'ai lu l'article de cet-te inconnu-e prénommé-e Dominique, ma perspicacité congénitale m'a pris au dépourvu: je ne me suis pas interrogé une seconde comme Bernard sur le genre (je le préfère au mot "sexe" trop sujet à confusions équivoques) de cette personne qui considère que la parenthèse est réductrice pour ce qu'on y enferme, en l'occurence le "e" féminisant.
J'étais suffisamment en accord avec cette interprétation pour l'expérimenter moi-même récemment dans un texte, ce qui aura probablement échappé ou alors surpris, selon le degré d'attention que les un-e-s et les autres portent à mes écrits.
Après coup, je m'en veux de ne m'être pas posé cette question évidente, étant raisonnablement féministe et c'est plus le mâle que l'homme qui a, d'instinct, pensé à une Dominique.
Me serais-je donc fourvoyé dans un débat stupide, au risque de passer au mieux pour un emmerdeur, au pire pour un con !
Quant à savoir s'il s'agit d'un ou d'une Dominique, le mystère reste entier ... à moins que l'intéressé-e ne réagisse dans le prochain numéro !